There are some historical divisions in methods, rationales, and purposes between studies on comparative cognition and behavioural ecology. In turn, the interaction between these two branches and studies from mathematics, computation, and neuroscience is not usual. In this short piece, we attempt to build bridges among these disciplines. We present a series of interconnected vignettes meant to illustrate what a more interdisciplinary approach looks like when successful, and its advantages. Concretely, we focus on a recent topic, namely animal rhythms in interaction, studied under different approaches. We showcase 5 research efforts, which we believe successfully link 5 particular scientific areas of rhythm research conceptualised as the following: social neuroscience, detailed rhythmic quantification, ontogeny, computational approaches, and spontaneous interactions. Our suggestions will hopefully spur a “comparative rhythms in interaction” field, which can integrate and capitalize on knowledge from zoology, comparative psychology, neuroscience, and computation. (PsycInfo Database Record (c) 2020 APA, all rights reserved)Public Significance Statement—Why do we see so many rhythmic processes interacting in human behaviour, in other animals, and when studying brains? Are they all connected? In this article, we highlight some fruitful links among research disciplines all focusing on interactive rhythms but from different traditions, spanning social neuroscience, computational modelling, animal behaviour and cognitive development. (PsycInfo Database Record (c) 2020 APA, all rights reserved)Il existe des clivages historiques entre les méthodes, les justifications et les objectifs des études sur la cognition comparative et l’écologie comportementale. Par conséquent, les interactions entre ces deux branches et les études provenant des secteurs des mathématiques, de l’informatique et des neurosciences ne sont pas habituelles. Dans ce court texte, nous tentons de jeter des ponts entre ces disciplines. Nous présentons une série de capsules interreliées visant à illustrer à quoi ressemblerait une perspective plus interdisciplinaire (lorsqu’elle porte fruit) ainsi que ses avantages. Concrètement, nous nous penchons sur un sujet récent, notamment les rythmes animaux dans les interactions, que nous étudions au regard de différentes approches. Nous présentons cinq efforts de recherche qui, selon nous, établissent avec succès un lien entre cinq domaines scientifiques particuliers de la recherche sur le rythme, conceptualisés comme suit : les neurosciences sociales, la quantification rythmique détaillée, l’ontogenèse, les approches informatiques, et les interactions spontanées. Nos suggestions inspireront, nous l’espérons, l’apparition d’un champ intitulé « rythmes comparatifs dans le cadre d’interactions », qui pourrait intégrer les connaissances des domaines de la zoologie, de la psychologie comparative, des neurosciences et de l’informatique, et miser sur de telles connaissances. (PsycInfo Database Record (c) 2020 APA, all rights reserved)
Interactive rhythms in the wild, in the brain, and in silico / Anichini, M.; de Heer Kloots, M.; Ravignani, A.. - In: CANADIAN JOURNAL OF EXPERIMENTAL PSYCHOLOGY. - ISSN 1196-1961. - 74:3(2020), pp. 170-175. [10.1037/cep0000224]
Interactive rhythms in the wild, in the brain, and in silico
Ravignani A.
2020
Abstract
There are some historical divisions in methods, rationales, and purposes between studies on comparative cognition and behavioural ecology. In turn, the interaction between these two branches and studies from mathematics, computation, and neuroscience is not usual. In this short piece, we attempt to build bridges among these disciplines. We present a series of interconnected vignettes meant to illustrate what a more interdisciplinary approach looks like when successful, and its advantages. Concretely, we focus on a recent topic, namely animal rhythms in interaction, studied under different approaches. We showcase 5 research efforts, which we believe successfully link 5 particular scientific areas of rhythm research conceptualised as the following: social neuroscience, detailed rhythmic quantification, ontogeny, computational approaches, and spontaneous interactions. Our suggestions will hopefully spur a “comparative rhythms in interaction” field, which can integrate and capitalize on knowledge from zoology, comparative psychology, neuroscience, and computation. (PsycInfo Database Record (c) 2020 APA, all rights reserved)Public Significance Statement—Why do we see so many rhythmic processes interacting in human behaviour, in other animals, and when studying brains? Are they all connected? In this article, we highlight some fruitful links among research disciplines all focusing on interactive rhythms but from different traditions, spanning social neuroscience, computational modelling, animal behaviour and cognitive development. (PsycInfo Database Record (c) 2020 APA, all rights reserved)Il existe des clivages historiques entre les méthodes, les justifications et les objectifs des études sur la cognition comparative et l’écologie comportementale. Par conséquent, les interactions entre ces deux branches et les études provenant des secteurs des mathématiques, de l’informatique et des neurosciences ne sont pas habituelles. Dans ce court texte, nous tentons de jeter des ponts entre ces disciplines. Nous présentons une série de capsules interreliées visant à illustrer à quoi ressemblerait une perspective plus interdisciplinaire (lorsqu’elle porte fruit) ainsi que ses avantages. Concrètement, nous nous penchons sur un sujet récent, notamment les rythmes animaux dans les interactions, que nous étudions au regard de différentes approches. Nous présentons cinq efforts de recherche qui, selon nous, établissent avec succès un lien entre cinq domaines scientifiques particuliers de la recherche sur le rythme, conceptualisés comme suit : les neurosciences sociales, la quantification rythmique détaillée, l’ontogenèse, les approches informatiques, et les interactions spontanées. Nos suggestions inspireront, nous l’espérons, l’apparition d’un champ intitulé « rythmes comparatifs dans le cadre d’interactions », qui pourrait intégrer les connaissances des domaines de la zoologie, de la psychologie comparative, des neurosciences et de l’informatique, et miser sur de telles connaissances. (PsycInfo Database Record (c) 2020 APA, all rights reserved)I documenti in IRIS sono protetti da copyright e tutti i diritti sono riservati, salvo diversa indicazione.