Le corps entre culture e nature

The relationship between nature and culture is without doubt one of the most interesting topics, but also more complex, in the analysis of human relationships. And very often the human body becomes the main instrument of these sets (Le Breton 1992). Also assity to an ongoing battle between body and pouvoir.Sans doubt any company, civilization she works the body of its members to carve its image, its values, its purposes. If any company advances a "" ideal type "" body, miror in which each tries to recognize, always regretting not like him enough, our society is characterized by the ideal of a sanitized body, unreal, inaccessible.Chaque company knows such rituals by which the body is marked. as if a human body really should be working to reach his humanity (Huisman e Ribes 1992). The dominant characteristic of our time is the fundamental belief in individual mobility, hence the concern for competition. And ancore, life of modern man is built like a struggle against what is called technical progress, it denies the veillesse, vulnerability, fate, death (Baudrillard 1970. These terms also explains 'ethics of aesthetics and neo-tribalism which speaks Maffesoli

La relation entre nature et culture est sans doute un des sujets les plus intéressants, mais aussi un des plus complexes, dans l'analyse des rapports humains. Et trés souvent le corps humain devient l'instrument privilégié de ces décors (Le Breton 1992). On assite aussi à une bataille continue entre corps et pouvoir. Sans doute, toute société, toute civilisation travaille-t-elle le corps de ses membres pour les sculpter à son image, à ses valeurs, à ses fins. Si toute société avance un "idéaltype" du corps, miror dans lequel chacun essaie de se reconnaitre, déplorant toujours de ne pas lui ressembler suffisamment, notre société se caractérise par l'idéal d'un corps aseptisé, irréel, inaccessible. Chaque société connait de tels rituels par lesquels le corps est marqué. comme si un corps véritablement human devait etre travaillé pour accéder à son humanité (Huisman e Ribes 1992). Le caractéristique dominante de notre époque est la croyance fondamentale en la mobilité de l'individu, d'où le souci de la compétition. Et ancore, toute la vie de l'homme moderne est construite comme une lutte contre ce qu'on nomme le progrés technique, il refuse la veillesse, la vulnérabilité, la fatalité, la mort (Baudrillard 1970. En ces termes on explique aussi l'étique de l'esthétique et le néo-tribalisme dont parle Maffesoli