Monumentum familiae Statiliorum. Un riesame (pp. 18-20, 33-39, 43-48, 55-56, 59-64, 102-126, 135-143)

Le livre rappelle les circonstances de la découverte de ce grand monument funéraire (trois salles, N, O et P, la première fermée en 53 p.C., les deux dernières ouvertes à partir de 66 p.C.) et étude les inscriptions, en les classant par type de support (plaques de différentes sortes, stèles, autels, urnes) et par décor, Les auteurs tentent d'établir à quel(s) membre(s) de la famille sénatoriale des Statilii appartient les affranchis et les esclaves des épitaphs; elles se demandent aussi où étaient ensevelis les membres de cette familia avant la construction de la salle N et entre le 53 et le 66 p.C. Pour cela, sont étudiées les inscriptions de Statilii trouvées hors du monument. Les a. essaient de définir des critéres architecturaux et administratifs qui permettent de ranger un monument funéraire parmi la catégorie des columbaria, en comparant le monumentum familiae Statiliorum à certains columbaria de Rome.